Efficace et bien mené
De quoi ça parle
48 heures dans une campagne primaire démocrate aux Etats-Unis entre conseillers, politiques et journalistes. 48h qui vont défaire une carrière.
J'aime bien
L'ensemble de la troupe est très juste, dans les rôles principaux comme dans les rôles plus anecdotiques.
Un décor très bien conçu pour multiplier les lieux et les ambiances.
L'utilisation de la musique dans une écriture quasi-télévisuelle, assez intéressante.
Des idées de mise en scène intelligentes pour contourner certains des écueils propres à la modernité du propos. Notamment l'omniprésence du téléphone portable.
Raphaël Personnaz convaincant de bout en bout, notamment quand le personnage perd pied.
Je suis moins convaincu
Par cette difficulté de donner des prénoms américains à des acteurs français. J'ai toujours la curieuse impression de voir du théâtre doublé. Mais c'est assez peu important.
Une dernière partie légèrement moralisatrice en mode "les politiques sont déconnectés des vraies gens". Je suis un peu sévère, cette scène est vite contrebalancée par le très beau monologue de Frémont sur la loyauté.
Pour poursuivre
Plus que House of Cards, dont le scénar US a été écrit par l'auteur de la pièce, les Cartes du Pouvoir m'a donné envie de revoir The Newsroom, notamment sur le rapport ambigu entre presse et staffs politiques dans les bus de campagne.
De quoi ça parle
48 heures dans une campagne primaire démocrate aux Etats-Unis entre conseillers, politiques et journalistes. 48h qui vont défaire une carrière.
J'aime bien
L'ensemble de la troupe est très juste, dans les rôles principaux comme dans les rôles plus anecdotiques.
Un décor très bien conçu pour multiplier les lieux et les ambiances.
L'utilisation de la musique dans une écriture quasi-télévisuelle, assez intéressante.
Des idées de mise en scène intelligentes pour contourner certains des écueils propres à la modernité du propos. Notamment l'omniprésence du téléphone portable.
Raphaël Personnaz convaincant de bout en bout, notamment quand le personnage perd pied.
Je suis moins convaincu
Par cette difficulté de donner des prénoms américains à des acteurs français. J'ai toujours la curieuse impression de voir du théâtre doublé. Mais c'est assez peu important.
Une dernière partie légèrement moralisatrice en mode "les politiques sont déconnectés des vraies gens". Je suis un peu sévère, cette scène est vite contrebalancée par le très beau monologue de Frémont sur la loyauté.
Pour poursuivre
Plus que House of Cards, dont le scénar US a été écrit par l'auteur de la pièce, les Cartes du Pouvoir m'a donné envie de revoir The Newsroom, notamment sur le rapport ambigu entre presse et staffs politiques dans les bus de campagne.
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